Chapitre 1 : Ici, tout le monde aime les legendes.

 

Dans un monde où les continents ne se sont jamais separés, dans un monde coincé à l'âge de la vapeur, il est conté une légende: celle des rails d'or et du train d'argent. Des rails de train traversants terres et mers, faisant le tour de notre pauvre monde en ligne droite. Et un train d'argent, qui apportera gloire, richesse, et tant d'autres choses à tous ceux qui auront le courage de monter dedans et de mener à bien leur tour du monde. 

Tout ceci n'est qu'une vieille légende, mais, là-bas, dans le monde de Pangueos, tout le monde aime les légendes. Nombreux sont les hommes qui tentèrent leur chance sur ces rails d'or. Certains par bravoure et par goût du voyage, d'autres par appât du gain. Et nombreux sont les équipages disparus en cours de route. À vrai dire, personne n'a encore mené ce voyage à bien. Les causes sont nombreuses: certains parlent de pirates, d'autres de malédictions. Et d'autres ne parlaient pas: ils pariaient. Car commencer ce périple n'est pas gratuit. Un tribut est à payer, une somme d'argent bien importante. Et, évidemment, ceux qui parviendront à survivre au voyage gagneront la somme de tout les tributs. Gloire, richesse... il faut bien que la légende tienne debout! D'où va tomber cette dite "richesse" si ce n'est que de la poche des braves qui ont echoués? 

 

Mais toute légende a une fin, ou plutôt, disons que toute légende a un réel début: pas celui qu'on raconte, mais celui que certains vivent. Et c'est l'histoire de ces personnes qui va vous être contée ici. 

 

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Cette fois, c'était la fois de trop. Et même si Chris pensait la même chose à chaque fois qu'on lui refusait un travail, cette fois-ci, c'était la dernière fois qu'il se voyait refuser un boulot. La dernière, je vous dis. 

Christopher Aghan -de son vrai nom- a pourtant tout essayé : 

Mécanicien, livreur, épicier, chauffeur... Même homme à tout faire ! Mais rien à faire: quand il s'agit de travail, personne n'a besoin d'un boiteux. Si bien qu'à chaque fois que le dit boiteux entrait dans un commerce, prêt à se faire embaucher, cela finissait de par un claquement de porte sourd accompagné d'un bon nombre de jurons de la part du jeune homme.

 

" Barbares ! Incultes ! ILLETRÉS !  Voila ce qu'il vous dit l'éclopé ! Depuis quand il faut ses deux jambes pour tenir une epicer– "

 

Il n'eu pas le temps de finir ses remontrances, dépourvu de tout équilibre, Chris se serait fracassé  contre le pavé si sa canne ne l'avait pas retenue. Il grinçât des dents, prenant bien soin de mettre tout le poids de son corps sur sa canne, à défaut d'une jambe valide, et repris sa marche. 

Sa jambe droite: voici donc la source principale de tous ses problèmes. Pour un accident de travail, à un âge si précoce, il s'en était bien tiré. Il aurait pu avoir une jambe de bois à quinze ans, mais il a juste fini boiteux de la jambe droite. Malheureusement, c'est à croire qu'il ne s'en est pas assez bien tiré pour retrouver un travail descent après cet incident. Bien sûr, il y avait des hauts et des bas, mais en cette période de fin d'hiver, le travail manquait, et encore plus pour lui. Enfin, il y a pire comme situation financière, monsieur est propriétaire, ou du moins à demi...

 

Il sortit de ses pensées amères lorsqu'il arriva devant une vieille locomotive posée dans un recoin sombre du quartier de Pangueos. Voilà donc sa "demi propriété": une vieille locomotive toute rafistolée qui lui servait d'abris de fortune. Enfin, fortune, façon de parler.

Il serra les dents, toqua à deux reprises et attendit jusqu'à ce que la porte s'entrebaille, laissant entrevoir le visage couvert de crasse d'une jeune fille fatiguée qui lui rétorqua d'un air narquois : 

 

" Oh, laisse-moi deviner, toi tu n'as pas plu à l'épicier. " 

Chris ne répondit pas à la remarque, mais passa la porte qu'on lui avait ouvert. Grommelant entre ses dents :

" Pas moyen de se renflouer dans cette fichu ville... "

" Oh que si il y en a ! Tu fais juste ton difficile ! " 

" Difficile?! Et ça tu crois que ce n'est pas difficile? " rétorquât-il en pointant sa jambe du doigt. Le ton avait déjà monté. Ce genre de dispute entre ces deux là était de plus en plus fréquent, mais  n'aboutissait à rien: ni solution, ni réelle rancoeur. Mais bon, cousin comme cochon, cela ne les empechait pas de s'engueuler sévèrement, surtout quant il s'agissait d'argent. 

" Roh ça va Chris, cesse de faire comme si tu étais le héros de je-ne-sais quelle tragédie antique, t'as 15 ans ! J'ai besoin de te refaire la définition du mot "adulte?" Repris son aînée, en prenant soin de mimer les guillemets avec ses doigts. 

" Tragédie antique ou pas, le message est bien clair : Je n'ai pas de boulot, et on est fauchés. Et non Alyssa, travailler deux fois plus et croiser les doigts n'est pas une solution. "

" Oh mais alors t'as qu'à me la dire ta solution miracle monsieur la drama-queen !"

" Tant mieux parce que j'en ai une de solution miracle, et tu sais très bien laquelle ! " 

Le silence se fit. Tous deux savaient en effet à quoi Chris faisait allusion. Le jeune homme soupira et posa son poing contre la table. Comme si il l'avait frappée, mais non, pas du tout. Au lieu de ça, il prit une voix calme mais décidée pour annoncer à haute voix ce que sa cousine redoutait d'entendre. 

" On n'a pas le choix Alyssa: on va payer le tribut, et on va mettre cette locomotive sur les rails d'or. Et peu importe combien de personnes on devra rallier à notre cause pour pouvoir payer le prix du tribut plus le prix d'un wagon supplémentaire: demain, on met les voiles. " 

 

 

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Voila le premier chapitre de mon bébé : All Abord the Silver Train! S'il vous plait, n'hésitez pas à commenter, j'aime toujours recevoir des avis, c'est la premiere fois que je decide de poster mon histoire en ligne, je suis un peu nerveuse, disont ça comme ça... Enfin, si ça vous a plus, faites le moi savoir! Et on se revoit au prochain chapitre, à la revoyure !

Point de vue général:

Le lendemain, Ils s'envolèrent pour l'Australie en faisant escale à Londres. Ils avaient plus de neuf heures d'avion. Dès le début du second vol, Céline s'était endormi avec ses écouteurs encore dans les oreilles, elle écoutait de préférence des chansons japonaises (dont vocaloid) ainsi que des chansons anglaises, (elle n'était pas trop fan de la musique française bien qu'il y en avait des biens). Elle avait souvent le mal des transports mais apparemment l'avion ne lui posait aucun problème. Joan et Michel se firent une partie d'échec (sur tablette) et Le blond trouva que son ami était beaucoup plus doué que lui, et oui personne n'est parfait ! Mathéo et Mélo jouèrent tous deux à « plantes contre zombie », ils trouvèrent ce jeu drôle mais que par rapport à ce qu'ils avaient vécu peu constructif. Mathéo se demandait si c'était possible de mettre des plantes tueuses de morts vivants dans son jardin, l'idée ne lui déplaisait pas mais elle restait tout de même improbable, et cela pourrait attirer l'attention du voisinage. Lucie buvait du fanta (sans placement de produit) tout en regardant par le hublot de l'avion, le ciel était si clair. C'était sa première fois en avion et elle avait été un peu inquiète pour le décollage, mais maintenant elle trouvait ça cool. Elle s'était déjà prise en photo à l'intérieur avec une Céline endormit. Ophélie, qui était positionnée un siège devant celui de Lucie, voulu parler avec son voisin mais comme celui-ci était en pleine partie de jeux vidéo, elle se tourna pour papoter avec Céline. Quand elle l'a vit elle se mit à pouffer, vous vous demanderez pourquoi ? Et bien parce que celle-ci avait un sourire complètement débile, et Lucie avait pris un stylo pour dessiner une moustache sur le visage de la jeune fille toujours endormie. Ophélie n'a pas pu s'empêcher de faire une blague et décida de renverser de l'eau sur le visage de son amie afin que celle-ci se réveille. Drôle d'idée je confirme mais que voulez-vous, il faut bien s'occuper quand on s'ennuie ! Bref, Off sortie la fameuse bouteille et se mit à balancer le liquide sur la fille. Mais malheureusement cela n'a pas eu l'effet attendu, à la place d'éclabousser le visage de la victime, l'eau s'évapora avant même de l'avoir atteinte. Ophé était blême, elle regarda autour d'elle pour essayer de comprendre ce qui aurait pu provoquer cette évaporation, mais rien ne pouvait l'aider. Elle demanda à Mélo et Math de venir voir afin d'avoir d'autres témoins. Elle recommença la manipulation mais le résultat resta identique. Mélodie était perplexe elle aussi, elle savait que ce n'était pas le fruit de son imagination car ils étaient trois à avoir vu la même chose. Cette fois ils interpellèrent Michel et Joan pour le leur montrer, ils étaient situés au milieu de l'avion dans la même ligne que celle des deux sœurs, à la fin de la démonstration, Joan se gratta la nuque en signe d'agacement, il cherchait une explication plausible mais rien ne lui venait à l'esprit.

Il demanda à Ophélie de recommencer le geste mais sur Lucie, qui fixait le paysage à travers le hublot, elle s'exécuta et Lucie finit trempée, elle leur rétorqua avec colère « Mais vous êtes des grands malades ! Cela ne se fait pas ! », Joan essaya de la calmer, il lui expliqua le phénomène mais la sœur de la victime ne les croyait pas. Donc Ophélie dut refaire pour la quatrième fois le geste. La colère de Lucie laissait place à l'incompréhension. Elle secoua comme un prunier la principale intéressée de ce problème. Après quelques gémissements plaintifs, Céline ouvrit les yeux et vit que ses amis la fixèrent comme si elle était la réincarnation de dieu tout puissant (j'exagère un peu) ce qui la mise mal à l'aise d'ailleurs. Elle les interrogeait du regard. Ce fut Mélodie qui prit la parole :

« Cécé, tu te sens bien ?

J'irai mieux si personne ne m'avait secouée !!!! Pensa-t-elle, vous savez le repos ce n'est pas seulement pour les morts?! 

- Heu ! Oui pourquoi ?

- Rien c'est juste que quand on te balance de l'eau en pleine figure tu n'as même pas le temps de te retrouver mouillée que l'eau s'évapore déjà, ironisa Ophélie.

- Vous me faites marcher là... Attends ! Vous avez essayés de m'arroser pendant mon sommeil ?! Mais vous êtes des grands malades ! s'énerva Céline.

- C'est moi ou j'ai déjà entendu ça quelque part ! souris Mathéo.

A la fin de la phrase, il vit Lucie se recroqueviller sur elle-même en lui tirant la langue (elle se promit de se venger, mouaaaaaa).

- D'accord si tu nous crois pas on va te montrer proposa Michel. »

Ophélie dut reprendre une autre bouteille et gâcha une nouvelle fois de l'eau pour l'expérience.

L'eau s'évapora quand elle approchait de trop près Céline. Celle-ci devenait de plus en plus pâle. C'est Joan, qui était resté en retrait, qui éclaira enfin tout le groupe :

« En fait, je pense que Céline à découvert ses nouvelles capacités, comme moi et le feu et Lucie et l'invocation de zombies.

- Et tu comptais nous le dire quand ? interrogea Céline

- Je viens juste de piger !

- Il doit nous rester un peu moins de deux heures, alors moi je vais me reposer, je vous conseille de faire de même, conseilla Mathéo.

- Oui papa dire tous en chœur.

- A quoi cela sert de me réveiller si c'est pour se rendormir » se renfrogna Céline avant de remettre ses écouteurs dans ses oreilles.

L'avion atterri au bout de deux heures. Les adolescents prirent leurs bagages et attendirent à l'entrée de la station balnéaire. Normalement, quelqu'un devait les chercher dans un 4×4, une dame a priori. Ils entendirent une femme crier, elle menaçait son chauffeur de renvoi :

« Espèce de gros crétin, vous avez abimé mon magnifique sac en écaille de caïman, il m'a couté une blinde », « Je suis désolé, cela ne reproduira plus ma vieille », « J'espère bien, espèce de minable, vous m'avez traité de quoi, là ?! ». Ophélie était en train de critiquer la jeune femme. Elle avait un tailleur noir avec une jupe assortie et pour couronner le tout des talons aiguilles de 15 cm. Malgré son mauvais caractère elle était d'une beauté à couper le souffle. Ses cheveux étaient d'un roux flamboyant, ses yeux couleurs jade. Elle décida d'ignorer son chauffeur incompétent, elle se retourna et vit les adolescents, et leur fit signe de venir la voir. Malgré leur inquiétude, ils s'avancèrent vers elle :

« Bonjour, bonjour je suis contente de vous recevoir, c'est moi qui vais vous amener chez le Dr. Aso.

- Bonjour, nous nous sommes ravis de vous vous rencontrer madame, bégaya Michel.

- Oh vous pouvez m'appeler tatie Zelda.

- Tatie Zelda ? s'interrogea Lucie

- Oui, oui tatie Zelda, de mon vrai nom Rubis Zelda.

- Rubis Zelda, répéta machinalement Lucie.

- Tu commences à me taper sérieusement le système toi le perroquet ambulant.

- Perroquet ambulant, répéta-t-elle dans le vague.

Rubis décida de l'ignorer sinon elle allait en faire du hachis Parmentier.

- Bref, le voyage c'est bien passé ?

- Oui, on peut dire ça comme ça, répondis Céline.

Ils sont vraiment énervant ses adolescents, enfin à dix-sept ans, ils devraient savoir se comporter en vrai adulte, ou du moins rester poli pensa Rubis.

Ils eurent encore une heure de route avant d'arriver à destination.

Un grillage s'ouvrit laissant place à d'énormes bâtiments.

Rubis : Tout cela appartient au docteur Aso et à son cousin. Chaque bâtiment est important, il y a vos logements ainsi que ceux des étudiants, le laboratoire, l'amphithéâtre, le gymnase et la salle de restauration. Tout est grand ici mais ne vous inquiété pas, on vous aidera.

Je vous dépose devant l'immeuble des logements, voici les clés. Vous avez droit à une suite de rêve vous êtes au 9ème et 10ème étage. C'est une suite à deux étages et vous avez un accès illimité au toit. Vos bagages ont déjà été installés dans vos appartements. Vous avez tout l'après-midi devant vous, demain nous vous apporterons vos emplois du temps. Bye !

Lucie : C'est moi ou elle avait envie de nous quitter le plus vite possible ?!

Ophélie : J'ai eu la même impression que toi.

Mélodie pris les clés des mains de Mathéo et entra dans l'établissement. Ils appelèrent l'ascenseur, puis arrivèrent devant la porte de leur logis, ils étaient au neuvième étage. Mélo ouvrit avec empressement.

Point de vue Céline :

C'était tout simplement énorme et magnifique. Cela ressemblait à un hôtel cinq étoiles qu'à un appartement étudiant. Je suis en train de rêver, j'entrai dans une des chambres où il y a avait marqué mon prénom sur une plaquette en métal juste à côté de la porte. J'avais envie de me pincer tellement c'était inimaginable (bon je l'ai fait mais ça m'a fait mal), et dire que cela devait être le quotidien du Dr. Aso et de son cousin.

Point de vue de Mélodie :

Je m'installais dans un des trois canapés du salon, tout aussi stupéfaite de loger dans ce luxe, je me disais qu'être dans un palace devrait être interdit et que c'était trop beau pour être vrai. Chacun de nous possédait notre propre chambre et s'était Waouh, je vais regretter d'être venu si on repart dans pas longtemps, je veux rester ici. On se croirait dans un conte de fée. J'allumais l'écran plasma géant et quand je dis géant je n'exagère pas. Il y avait plus de deux cents chaines, il y avait aussi des disques de jeux comme super Mario, juste dance (ouais, comment crever de fatigue et être trempée de sueur au bout de quatre danses) et plein d'autres choses encore.

Point de vue de Mathéo :

Ça ne change pas beaucoup de là où j'habitais mais je dois dire que je me sentais dans mon environnement. La cuisine était super classe et elle s'ouvrait sur la salle à manger là où d'ailleurs Mélo regardait les jeux vidéo avec émerveillement. Elle ne changera jamais.

Je sens qu'on va bien s'éclaté tous ensemble.

Point de vue de Lucie :

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Disque censuré, cerveau a reçue trop d'information positive sur ce jolie, magnifique, extraordinaire appartement (si seulement s'était vraiment mon appart).

Point de vue de Michel :

Je suis arrivé, j'ai monté les escaliers, je suis allé dans ma chambre et j'ai dormi. J'étais trop crevé ! (#flemmard)

Point de vue de Joan :

J'étais content à l'idée que mes amis c'étaient fait à tout ce luxe, mais comme on le dit il n'y a pas de pause pour le fils du patron. J'ai dû partir sur le champ à la rencontre de mon père pour lui expliquer en détail tous ce qui c'était passé depuis notre arrivé. Je sais, c'est chiant....

Point de vue d'Ophélie :

C'était trop génial et trop classe. Après avoir fait le tour de l'appartement, direction cuisine ! Une fois arriver, j'ai vu Mathéo assit sur un siège en face de l'espace de travail. Il regardait ses mails sur son ordinateur portable. Puis mon regard c'était posé sur le frigo, je l'ouvris et je vis un paquet de coca qui m'accueillait capsule ouverte (bras ouvert ne pouvait pas marcher, vue que ce sont des canettes:). J'en est prise une au hasard. Après quelque gorgé de cette merveille, Mélodie et Céline vinrent dans ma direction et elles aperçurent le coca dans ma main. Après un échange d'alerte entre elles, elles crièrent mon nom en se jetant sur moi, elles essayèrent de me confisquer la canette mais elles n'y parvinrent pas, de mon côté je rigolais comme une malade.

Point de vue général :

Céline : Ophééé, tu sais très bien que c'est la boisson défendue.

Mélodie : Tu ne supportes pas le coca que je le sache, cela te rend complétement folle.

Michel qui était réveillé par les cris stridents des filles, alla à leur rencontre :

« Qu'est ce qui se passe ?

- Ophélie a bu du coca alors qu'elle y est interdite, expliqua Mathéo tout en fixant l'écran de son ordinateur portable.

- Pourquoi elle y est interdite ? demanda Michel surpris.

- Pourquoi ? POURQUOI ? ironisèrent Céline et Mélodie, parce qu'elle ne le supporte pas, c'est comme si c'était de la bière pour elle, elle disjoncte après en avoir bu !

- Zombie, moche, méchant...zombie, rassemblement puis boom, plus de zombie, rigola Off avec maladresse.

- Ophélie, ce que tu as fait est complètement stupide, combien de fois nous t'avons dit de ne pas en boire ! hein combien de fois nous te l'avons dit !! gronda Mélodie.

- Juste assez pour que je continue, hi, hi, hi ! gloussa Ophélie. »

Céline leva les yeux exaspérés par l'attitude honteuse de leur amie, incapable de se maitriser, se qui ne l'empêcha de sourire quand même . Michel aida Mélodie a raccompagnée la droguée du coca. Mathéo n'avait pas bougé d'un poil :

« Ca fait depuis longtemps qu'elle est comme ça ?

Céline qui s'était effondrée sur une chaise à coté de lui, le regarda interloqué par le calme du geek.

- Je dirais depuis un peu plus de onze ans à tout casser !

- Dire qu'elle est embarquée dans cette histoire...

- Comme nous d'ailleurs, au fait qu'est-ce que tu fais ? Depuis qu'on est arrivé, tu n'arrêtes pas de pianoter sur ton clavier.

- Je fais des recherches sur les macchabés, on n'en sait jamais assez sur eux, expliqua Mathéo avec indifférence. »

Mélodie et Michel rejoignirent le groupe :

Céline : Ophélie ?

Mélodie : endormis...

Michel : Ou si tu préfères assommer, elle n'arrêtait pas de courir partout avec une vitesse effrayante, j'ai du lui donner un coup avec des gros livres pour qu'elle se stoppe. Une tête de mule cette fille, je me demande comment fait son petit ami pour la supporter.

Mathéo : Le principal c'est qu'elle soit sage maintenant.

Tout le monde hocha la tête avec approbation.

Michel : Au fait, quoi de neuf ?

Mathéo : D'après les légendes, rien qu'on ne sache déjà. Les morts vivants sont des êtres qui n'ont pas de conscience, qui sont attirés par la lumière et les bruits.

On les caricatures en disant qu'ils mangent des cerveaux mais personnellement je pencherais plus sur de la chair fraiche.

Mélodie : Avec un peu de chance, on pourra aller à la bibliothèque du cousin du Dr. Aso, sachant qu'il est spécialisé dans la chasse au zombie.

Un bruit se fit entendre dans la chambre d'Ophélie.

Céline : Qu'est ce qui se passe ? Elle n'était pas censée être endormi ?

Michel : Elle l'était !

Ils coururent vers la chambre de celle-ci, elle avait disparu. La fenêtre était cassée, et les adolescents marchèrent sur des bouts de débris. Ophélie était à l'étage inférieur, sur le balcon et elle regardait dans le vague. Mélodie l'appela, Off la regardait à présent, puis fit un bond impressionnant pour arriver devant ses amis. Quelque chose avait changé chez elle, elle n'était plus la fille timide et un peu folle. Elle était dynamique et souriante voir effrayante, on voyait des canines dépasser de sa bouche et ses yeux étaient plus profonds, elle paraissait plus mature à présent.

Ophélie : Qu'est-ce qu'il y a ?

Michel : tu te rends compte que tu viens de sauter d'un étage ? Ce n'est pas humain !

Ophélie : Oui mais je me sens super bien !

Elle revint face à ses amis et Mélodie contre toute attente pris un miroir pour le mettre devant son amie.

Off surprise de ne pas y voir son reflet recula, elle allait tomber à la renverse quand

Mathéo la retint et la ramena vers le centre de la pièce. Elle ne savait plus quoi penser, elle n'était plus humaine... Mais alors qu'est-ce qu'elle était ? Mathéo qui lisait ces pensées comme dans un livre ouvert, lui éclaira la situation. Tout d'abord il la décrivit puis arriva à la conclusion qu'elle était un vampire. Ophélie protesta car un vampire était synonyme de buveur de sang alors qu'elle n'y était pas attirée. Cette remarque fit apparaître le doute du geek. Il décida d'aller voir le Dr. Aso afin de mieux comprendre.

Ils passèrent devant plusieurs bâtiments avant d'arriver à destination.

Le Dr. Aso était au premier étage, dans un laboratoire, en train de parler à Joan. Ils se retournèrent en entendant les bruits de pas des adolescents. Joan inquiet les regarda sans comprendre, puis en détaillant Ophélie, il les interrogea du regard, et c'est Mélodie qui entreprit la conversation :

« Ophélie est devenue un vampire, annonça-t-elle en essayant de camoufler son inquiétude grandissante.

- C'est ce que je vois, mais il y a quelque chose de dérangeant qui émane d'elle, a-t-elle bu du sang dernièrement ? interrogea le Dr. Aso.

- Non, juste du coca ! affirma Ophé.

Le père de Joan demanda à celui-ci de rapporter une canette afin de faire un test.

Il partit puis revint avec la boisson à la main. Le vampire en pris une gorgée puis redevint humaine.

Le Dr. Aso surveillait les moindres gestes de la jeune fille, celle-ci perdit toute son apparence de monstre (c'est ce que pense vraiment le père de Joan). Il recommanda à Ophélie de ne plus boire de coca sauf en cas d'urgence ou lors des entrainements, c'était avant tout une question de sécurité. Malgré quelque plainte de la concernée, elle finit par l'accepter. Il ignorait tous des effets secondaires provoqués par la boisson.

De leur côté, Mathéo, Michel, Mélodie et Céline restèrent perplexe sur la nouvelle forme d'off, ils trouvèrent tous bizarre que seul le coca pouvait aider leur amie à permuter entre l'humaine et le vampire qui résidait à l'intérieur d'elle-même.

Ils terminèrent par regagner leur chambre après cette journée éprouvante. Non je déconne, ils firent un petit peu beaucoup de PS4 avant, bah quoi?! Il y avait Call of Duty... :3

 

 

J'espère que l'histoire vous plaît :3 Laissez des commentaires, ça fait toujours plaisir!

- Amy: "Minuit. Voici l'heure du crime.

Sortant d'une chambre voisine,

Un homme surgit dans le noir.

Il ôte ses souliers,

S'approche de l'armoire

Sur la pointe des pieds

Et saisit un couteau

Dont l'acier luit, bien aiguisé.

Puis masquant ses yeux de fouine

Avec un pan de son manteau,

Il pénètre dans la cuisine

Et, d'un seul coup, comme un bourreau

Avant que ne crie la victime,

Ouvre le coeur d'un sushi." Maurice Carême.

- Ange M: Euh mais Amy... Tu sais que c'est pas ça la vraie fin, normalement c'est d'un artichaut... En plus ça rime pas!

- Amy: Mais chut! Je dis ce que je veux na. Surtout quand ça parle de bouffe comme les makis, sushis ou cookies :3

- Ange M: Complètement folle... Enfin bref, les enfant il est bientôt l'heure de la nouvelle boucle temporelle en ce 27 Octobre 2016!

- Kelly: Oh ouééé j'veux retourner à la Paris Games Week tous les jouuuurs!! <(*^*)>

- Ange M: Rah mais c'est pas vrai ça... Pourquoi faut-il toujours que je tombe sur des boulets?

- Amy: Parce que t'en est un toi-même peut-être?

- Ange M: ...

- Kelly: Oh yes! Elle va être envoyée aux Creux/Slendermans hihihi... *Rire démoniaque*

- Ange M: Nan j'y ai déjà envoyé tous les autres, ils restent que vous, alors même si vous êtes... énervantes; vous resterez là. Et tiens au fait un stylo pour ta croix. Profitez-en pour expliquer vos pouvoirs aux nouveaux arrivants moldus!

- Amy: Moi j'ai le pouvoir de contrôler l'eau! C'est trop bien ^^

- Kelly: Haha petite joueuse... Moi je peux faire des deals MOUHAHAHA!!

- Ange M: Très bien les enfants... Dites au revoir maintenant il est bientôt l'heure!

- Kelly et Amy: Auuu revoiiiir!!

 

Histoire écrite par Ange M 

 

 

(P.S.: Comme vous aurez compris, nous serons présentent à la Paris Games Week!! Dites nous si vous pensez y aller aussi ^^)

 

 

Cookie tout le monde !!! Aujourd’hui c’est à vous de gérer !!! Bienvenue dans la FAQ (foire aux questions) !! Règle simple, éclatez-vous et suivez le schéma ci-dessous :

 

 

Je précise vous pouvez poser n’importe lesquelles (même les WTF )....

Et comme on vous aime, on vous propose en échange que vous fassiez une courte présentation de vous, c'est-à-dire avec:

Votre pseudo:

Votre âge: (vous n'êtes pas obliger de répondre à cette case si vous n'avez pas envie :)

Votre manga ou film préféré: (je précise, on ne juge personne)

Votre couleur préférée: (c'est mon fun okéééééééé#Amy)

Ce que vous pensez du blog et enfin une image de vous (format dessin ou image( vous pouvez mettre le lien pour l'image), vous avez le droit d'être ce que vous souhaitez, même un poireau, on ne juge pas....)

Voili voilou !! ON VOUS AIME et on espère que vous serez nombreux!!!!!! 

 

(PS: Nous ferons un article avec les réponses)

 

 

 (Montage d'Amy Scarlet avec l'aide de Rinmaru Games)

 

*La scène se passe au 19ème siècle, Dom Juan sur la droite de la scène dans un décors richement décoré... Hum non pas le bac de français :,(

Enfin bref elle se passe on ne sait où et on ne sait quand voilà.*

- Amy: Dit, c'est quoi ton personnage préféré?

- Ange M: Hmmmm... Difficile choix! Je dirais Arcanin, Mélofée, Galopa, Lugia, Mew, Evoliiii :3 et Tiplouf!

- Amy: Ouais mais Tiplouf est à moi en fait!

- Ange M: Euh nan à moi X)

- Amy: No!

- Ange M: Si!

*Le spectateur aperçoit (...on avait pas dit pas de bac de français?) que le fameux Tiplouf se barre dans un marchand de glace laissant les deux dresseuses parler en se hurlant dess... tranquillement.

- Amy: Mais puisque je te dit qu'il est à moi!

*Le Tiplouf en profite pour voler discrètement un pot de Vanilla Caramel Brownie sans payer*

- Ange M: Pourquoi ce serai toi hein?

*Il se casse en mangeant le pot en marchant de façon trop mignonne comme à son habitude*

- Amy: Parce que na. Et meeerde il est où?

- Ange M: Oups... Tiplouf mon chou! J't'offrirai plein de glaces!

- Amy: C'est déloyal... Mon Tiplouf si tu veux on ira à la patinoire! Allez viens...

- Ange M: Elle cherche à t'acheter ne l'écoute pas!

- Amy: Ah mais ça va pas là-dedans? C'est qui qui voulait lui offrir de la glace hein?! Dis moi un nom par hasard?

- Ange M: C'est euuuuh... C'est... C'est le vieux monsieur là-bas voilà! *Celui-là se lève et passe devant les deux dresseuses* Hum bonjour monsieur. Bon Tiplouf t'es où? Mais t'es pas là mais t'es où? ♫

*À ce moment arrive ce fameux petit Tiplouf avec un autre à ses côtés.*

- Ange M: (Au nouveau Tiplouf venu) Roooh mais t'es trop chou toi :3 Viens voir maman!

*Amy qui en a marre prend l'ancien Tiplouf en le tenant comme un sac à main tandis que l'autre fait du chantage de glace avec Ange M, qui finit par la convaincre avec trois pots de glace: cookies and cream, macadamisa nut brittles et speculoos.*

 

FIN!

 

- Amy: Tout ça pour un Tiplouf quand même...

- Ange M: Eh mais on avait dit fin mince!

 

RE-FIN!

 

- Amy: N'empêche...

- Ange M: Mais tais-toi!

 

VRAI-FIN-CETTE-FOIS!

 

 (PS: Comme vous l'avez compris, mini-sketch inventé par Amy Scarlet Redfox et Ange M)