• Ohisashiburi minna!

    Cette été je vais au Japon pendant 2-3 semaines et j'ai fait une liste de pleins d'astuces qui peuvent aussi vous aider si vous comptez vous aussi partir un jour au pays du Soleil Levant! ^^

    Dewa hajimemashou! (Je précise que cet article peut changer au fur et à mesure ou je découvre plus et surtout après mon voyage)

     

    Comment se préparer à aller au Japon?

     

    Tout d'abord, avoir un petit carnet toujours avec soit peut aider pour noter toutes les horaires, les trajets (CAR C'EST ULTRA GALÈRE COMMENT ÇA MARCHE LÀ BAS!), recevoir les divers tampons ou les autocollants des gares, faire des petits croquis pour les artistes en herbe ou plus expérimentés...

    Ensuite, il faut savoir que les prises sont plutôt rares à ce qu'il parait donc pensez à emmener une multiprise américain avec un transformateur (110 volts au lieu de 220)!

    De plus, le wifi est rare à capter et le forfait internet coûte cher en général à l'étranger donc prendre une pocket wifi à emporter partout que l'on peut louer ou acheter ou une sim card adaptée.

     

    Comment se préparer à aller au Japon?

     

    Plusieurs numéros sont intéressants à avoir sur son téléphone: la police (110) et les pompiers/urgences (119) mais ils ne parlent que le japonais.

    Du coup si vous êtes vraiment malades, allez au St Luke International Hospital au Sud de Tokyo pour avoir des interlocuteurs internationaux.

    Je vous conseille aussi d'apprendre quelque phrases types comme "Je voudrais un médicament contre le mal de tête" par exemple.

    Plusieurs applications sont aussi indispensables: Yurekuru Call (pour les séismes), XE Currency (pour les passages yens-euros) et HyperDia (équivalente à l'appli RATP à Paris).

     

    Comment se préparer à aller au Japon?

     

    Parlons du sujet qui fâche: les transports! 

    Vivre le Japon a fait un article très bien pour les trains ici.

    Quand les trains sont toujours à l'heure au Japon d'un côté, de l'autre c'est la galère pour s'y repérer en temps que Gaijin (étranger en japonais)! 

    Le prix du trajet dépend de la longueur, la direction du train s'indique par la station la plus populaire et non le terminus, certains trains ne s'arrêtent pas à toutes les stations (il faut vérifier sur le quai), certaines places sont réservées et d'autres non, certaines règles sont impérativement à respecter, il existe 7 types de trains... Enfin! On a un peu peur de se retrouver perdus ^^

    Néanmoins, à Tokyo la majorité des attractions touristiques se trouvent sur la Yamanote Line de métro Japan Rail.

    Aussi, quelque chose de pratique dans les gares, c'est les con-lockers plus ou moins grands pour stocker notamment les valises (entre 300 et 600 yens par jour).

    Autre chose de pratique, durant les heures de pointe, certains wagons sont réservés aux femmes!

     

    Comment se préparer à aller au Japon?

     

    Alors ensuite, quelques règles de bienséance au Japon: il est plutôt mal vu de boire et manger en marchant dans la rue, il faut toujours enlever ses chaussures quand on va chez quelqu'un ou dans un ryokan mais aussi parfois certains musées, restaurants ou cabines d'essayage, il faut entrer nus dans les Onsen et Sento et se laver avant, il faut rester statique dans les escalators, il est considéré comme très malpoli de se moucher en public, ne jamais planter ses baguettes dans le riz et les laisser ainsi (cela rappelle les batons d'encens pour les rites funéraires), ne pas passer de nourriture de baguettes en baguettes, ne pas laisser de pourboire, couper le son de ses appareils en transports et limiter son volume sonore, attendre que tout le monde soit descendu du métro pour y monter, ne jamais doubler dans une queue, toujours porter un masque si on est malade, arriver TOUJOURS à l'heure, ne pas bailler quand quelqu'un nous parle, faire du bruit lorsque l'on mange des nouilles...

    Autres informations pratiques, les poubelles sont rares dans le rues sauf parfois devant les Konbini (qui sont d'ailleurs ouverts 24h/24 et 7j/7) donc pensez à emporter des petits sacs plastiques! 

     

    Comment se préparer à aller au Japon?

     

    Pour l'instant, je n'ai rien d'autre à rajouter donc si vous avez d'autres conseils, n'hésitez pas à les poster en commentaire pour aider les prochains voyageurs! 

    Sur ce, sayonara!

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  • COOKIE MES OTAKUS !

    Bon je vais le dire haut et fort: Cookie!!!!! Vous m'avez manqué... J'ai eu un petit moment d'absence, ne m'en voulez pas :3

    Bref trêve de bavardage, on est là pour un article oui ou non! Le premier qui répond non! Je veux le trucider à la Japan expo! (je rigole bien évidement ^3^ )

    Truc et astuce au pays du soleil levant

     

    Truc et astuce au pays du soleil levant

     

    Truc et astuce au pays du soleil levant

     

    Truc et astuce au pays du soleil levant

    Truc et astuce au pays du soleil levant

     

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  • Hey! Aujourd'hui, on va parler des Geishas ;)

    Tout d'abord, ce statut est souvent associé à la prostitution (ouais, très joyeux hein?) par certains Occidentaux et c'est à cause du nom donné à ces hôtesses, les Makura Geisha ou "dame d'oreiller" engagée pour hommes seuls qui ont lieu à l'hôtel. Celles-ci portent un kimono traditionnel, sans le maquillage "consacré", chantent et dansent le même répertoire que les Geisha et servent du whisky ou du saké puis forment des couples avec les invités.

    En Japonais, Geisha signifie "art" (gei) et "personne" (sha). Une Geisha sait donc par sa culture animer une réunion ou un dîner pour plusieurs invités! Elles apprennent l'art de la danse, du chant de la conversation et de la poésie car elles doivent être des artistes spécialement entraînées aux arts du divertissement.

    Les Geishas de Kyôto (appelées les Geiko) et leurs apprenties (les Maïkos) jouent encore un rôle culturel bien qu'il y en ai de moins en moins au Japon.

    L’empereur Kammu, grand fan de la Chine, fait construire une nouvelle capitale, Kyoto, en partant du modèle de la capitale chinoise de l’époque, Changan. Pour divertir les nobles et les guerriers, l’empereur invite de jeunes femmes à danser sur des prières bouddhistes. Ces femmes devinrent très rapidement les maîtresses des hommes qu’elles divertissaient. Ce mélange de talent artistique et de plaisir déboucha, beaucoup plus tard, aux Geisha telles que nous les connaissons maintenant.

    Les Geishas apparaissent vers 1660 à l'époque d'Edo et elles furent vite appréciées par leur éducation et leur raffinement, elles devinrent donc les confidentes des hommes de la heures société. Mais en 1700, les Geishas furent obligées par le décret Shogunal de vivre et d'appartenir à des "maisons" ("Okiya") de quartiers réservés appelés Hanamachi ou Kagai, le temps de leurs contrats ("Nenki"), où elles sont formées. En échange de travaux domestiques, elles apprennent les rudiments de leur futur métier. Elles sont alors pleinement acceptées et obtiennent le titre de Maïkos à partir de 12 ans (avant, elles sont des "Shikomikos"). La formation reste longue, difficile et dure plusieurs années.

    Au début, les Geishas goutèrent très peu à ce changement car les "Yûjos" (les prostitués et/ou courtisanes) étaient avec elles. C’est au milieu du XVIIIème siècle qu’une différence fut établie ; les Hanamachis du centre villes furent réservés au Geisha tandis que les yûjos durent se contenter des quartiers en périphérie de la ville.

    Après la Seconde Guerre Mondiale, le nombre de Geishas se réduisit de plus en plus.

    Généralement une Geisha est la maîtresse reconnue d'un homme influent qui l'entretien. Cela fait partie du "standing" de ce dernier qui doit dépenser de véritables fortunes à cet effet (hébergement, kimonos, etc...)

    Le prix élevé des prestations restreint la possibilité d'animer une rencontre ou un dîner aux grandes sociétés ou partis politiques influents. D'ailleurs, seuls un nombre limité d'invités, ayant une parfaite connaissance de la culture japonaise, peuvent véritablement apprécier cette forme d'art "vivant".

    Son apparence est régie par des règles traditionnelles. Un visage entièrement blanc qui est signe de distinction. Le visage maquillé avec une poudre d'un blanc de porcelaine n'est dégagé qu'au niveau de la nuque, où apparaissent deux triangles de peau naturelle. 

    À l'époque, les dames de haut rang se démarquaient des femmes du peuple à la peau tannée par le soleil de cette façon. Le maquillage de la bouche, dont la moitié seulement est dessinée, répond à l'idéal de la beauté alors en vogue. Une grande bouche était considérée comme vulgaire.

    Les cheveux sont remontés en forme de chignon retenus par des peignes. Les Maikos y ajoutent des épingles avec des décorations brillantes.

    Dans l'art difficile de porter le Kimono, la Geisha est sûrement celle qui excelle le mieux. Son Kimono est somptueux, égalant en richesse et raffinement celui du mariage avec des couleurs éclatantes. Entièrement réalisé à la main, il arbore de délicats motifs de décoration, et un Obi (ceinture) large et coloré. La tenue de la Geisha est moins voyante que celle des Maikos. Celles-ci arborent un Furisode (manches longues) et une coiffure très chargée avec de nombreux peignes et ornements, afin d'attirer l'attention.

    Les Geishas et les Maïkos portent des kimono dont les motifs varient avec le rythme des saisons. De la même manière, les motifs des décorations dans leurs cheveux correspondent à la saison.

    Chaque Geisha possède environ une quinzaine de Kimonos dont le prix peut varier de 12.000 à 23.000 €. Achetés par la patronne (Mama San) de sa "maison", ils seront remboursés au fur et à mesure des gains obtenus par la Geisha. Ce remboursement s'étale généralement sur plusieurs années.

    Quant à elle, la tenue des "Shikomikos" était des plus simples, en été: une veste courte (multicolore, verte, rose ou bleu) avec un jupon rouge ("Koshimaki"), l’hiver, elles portaient un kimono uniformément rouge. Les Shikomikos n’étaient ni maquillées ni coiffées. À leurs pieds, les "Taabos" portaient des "Zori", ce sont des sandales en paille grossièrement tissés.

    Une Okiya type regroupait environ une dizaine de personnes déclinées de la façon suivante: une tenancière : “Okâsan” (mère), cinq à six Geishas, trois petites filles de moins de 12 ans: ” Shikomikos" (ou "Taabos"; ces petites filles sont les futures Geishas), deux femmes de 15 à 45 ans: une “Banba” (c’est-à-dire une aide cuisinière également serveuse), une “Beebe" (qui s’occupait du ménage et de la lessive, ces deux femmes n’étaient rétribuées que deux fois l’an sous forme de cadeau et n’avait pas le droit à un salaire précis), un serviteur (il était chargé d’escorter les Geishas lors des soirées ainsi que de racoler les clients à l’entrée, il était le seul Homme de l’Okiya et était très mal considéré par les femmes de la maisonnée, il touchait un pourcentage des gains de l’Okiya, en fonction du nombre de clients apportés), jusqu’en 1957 et l’interdiction de la prostitution, une Okiya devait également avoir une prostituée officielle pour obtenir une autorisation d’exploitation. Une dernière catégorie de femmes travaillait dans le quartier des plaisirs, les "Yarite-Baba" (ces vieilles femmes jouaient le rôle d’entremetteuses entre les geishas et leurs clients; comme le serviteur, ces femmes touchaient un pourcentage en fonction du nombre de client apportés à l’Okiya).

      

    Voilà une p'tite vidéo sur les Geishas ^^

    Afficher l'image d'origine

    Les Geisha ("芸者")

    Un maquillage Geisha ;)

    Les Geisha ("芸者")

    Des kimonos de Geisha et Maïko.

    Les Geisha ("芸者")

    Un assortiment de "Hana-Kanzashi" pour le mois de mai avec des iris violets et des glycines. きれい! (peut se traduire par "Joli!" ou "C'est beau!")

     

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  • Maneki provient du verbe japonais maneku qui signifie: inviter ou saluer et Neko veut dire chat ^^

    Un Maneki-Neko est donc un chat qui invite ;)

    Toutes ces statues sont fabriquées avec le plus grand soin au Japon. Le chat porte traditionnellement un collier équipé d'un grelot ainsi qu'un koban.

    Un Maneki-Neko est une statue traditionnelle japonaise en céramique ou en porcelaine, représentant un chat assis sur son postérieur et levant la (ou les) patte(s) au niveau de l’oreille, et que l’on trouve fréquemment sur les devantures des magasins, près des caisses dans les centres commerciaux...

    Lorsque le chat lève la patte gauche, ce porte-bonheur est censé attirer les clients et lorsqu'il lève la patte droite, il attire la fortune, l'argent et la prospérité. Depuis des temps reculés, les croyances populaires au japon, attribuent à ce petit chat la faculté de favoriser une entrée d'argent mais maintenant c'est plus un objet de décoration.

    Il y a plusieurs couleurs de Maneki Neko: blanc (très populaire, symbole de pureté), noir (protège la santé de son propriétaire et éloigne les esprits malins), rouge (protège des maladies), or ou doré (attire la richesse), rose (associée à l'Amour), tricolore (amplificateur des qualités de porte-bonheur) et vert (favorise la réussite scolaire).

    On trouve souvent des Maneki-Neko dans les foyers, notamment sous forme de tirelires, de porte-clefs ou d’autres objets.

    Une légende raconte qu'un empereur, voyant un chat lui faisant signe de la patte, l'aurait suivi et ainsi évité un piège que ses ennemis lui avaient tendu. Une autre histoire raconte qu'une vieille femme sans argent dû vendre son chat. Un soir elle fit un rêve dans lequel son chat lui dit de fabriquer une statue de lui en argile. Peu de temps après elle vendu la statue puis une autre et ainsi de suite jusqu'à devenir riche.

    Il y a aussi d'autre porte-bonheur comme les omamori, les amulettes de traditions, et divers autres objets qui sont utilisés au Japon pour attirer chance et bonne fortune.

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  • Bonjour bonjour! ^^

    1. Alors, pour commencer, c'est quoi Rilakkuma?

    Rilakkuma est une licence créée par la société japonaise San-X. Voilà le site officiel!

    Ces personnages ont été imaginés en 2003 par la designer Aki Kondo.

    Aki Kondo

    L'entreprise San-X contraint ses designers à créer au moins un nouveau personnage kawaii par mois. L'une d'entre eux, Aki Kondo, avait regardé une émission de télévision sur les chiens. Elle voulait posséder un animal de compagnie parce qu'à ce moment-là elle était particulièrement prise par son travail et rêvait d'une vie plus « relax ».

    Rilakkuma fit sa première apparition dans une série de livres d'images appelés Rilakkuma Seikatsu, mais sa célébrité s'est surtout affirmée à travers les peluches commercialisées de Rilakkuma. Rilakkuma fut rapidement adopté par le public japonais, et décliné dans toutes sortes d'objets dérivés, des stickers aux fournitures scolaires ou de bureau en passant, bien sûr, par les peluches. Bandai a d'ailleurs sorti une édition exclusive d'ordinateurs à thème Rilakkuma.Rilakkuma :3

    Mais il y a aussi des jeux qui sont sorti de cette licence, notamment Relaxuma Minna de Goyururi Seikatsu pour Wii!

    Et des films: 

    2. Bon les personnages maintenant!

    • Rilakkuma est un ours paresseux qui adore manger, dormir et se prélasser (Ange M: Eh bah voilà! Enfin quelqu'un comme moi quoi). Son nom, リラックマ signifie « ours relax ». Il sort subitement de nulle part et fait tout à son propre rythme c'est à dire lentement dans la plupart du temps... Rilakkuma n'est jamais stressé et adore manger des crêpes, des omelettes, des boulettes et des desserts.Il possède une fermeture éclair mystérieuse dans son dos qui révèle un tissu à pois bleu clair, mais personne ne sait ce qu'il cache derrière cette fermeture...

    Rilakkuma traîne beaucoup avec ses amis, le petit ours blanc Korilakkuma et le poussin jaune Kiiroitori.

    • Korilakkuma est un ours en peluche blanc. Kiiroitori l’a nommé Korilakkuma parce qu’il ressemble à un petit Rilakkuma (« Ko » signifie "petit" en japonais). Contrairement à Rilakkuma, Korilakkuma est très énergique. Korilakkuma a un bouton rouge attaché sur sa poitrine, et, à la différence de Rilakkuma, il n’a pas de fermeture dans son dos. Ses aliments préférés sont les fraises, les pommes et les cerises. Korilakkuma aime écouter de la musique à fort volume. Il danse de temps en temps. Korilakkuma parle rarement, mais il semble comprendre ce que Rilakkuma lui dit.

     

    • Kiiroitori est un poussin. Son nom signifie "oiseau jaune" en japonais (Ange M: Ouaah... J'aurais pas trouvé seule). Contrairement aux ours, il est strict et aime la propreté. Il gronde souvent Rilakkuma et Korilakkuma pour leur comportement paresseux et espiègle. Il fuit et se cache du chien et du chat parce qu’il en a un peu peur. Kiiroitori joue souvent avec Rilakkuma et Korilakkuma. Il prétend qu’il peut voler mais il ne fait que courir. Ses passe-temps favoris sont le ménage et la collection de pièces de monnaie. Pendant qu’il fait le ménage chez, il découvre des pièces de monnaie de temps en temps.

     

    • Kaoru-san ("san" signifie Madame ou Monsieur en japonais) est une femme de 25 ans qui travaille dans un bureau à Tokyo. Elle n’est jamais représentée dans les contes ni dans les produits dérivés de la marque. Toutefois, on devine quelque fois sa présence, notamment lors qu’elle réprimande le comportement de Rilakkuma. Initialement embêtée par la visite mystérieuse des ours, elle a fini par en être attendri et en a pris soin. Kaoru a fait des progrès en cuisine grâce à Rilakkuma (Ange M: Genre un ours ça sait cuisiner...) et fabrique des "enveloppes" pour les ours et Kiiroitori.

     

     

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